De l’univers des enfants à la création textile
Couturière n’est pas mon premier métier. J’ai consacré 21 ans de ma carrière au service de l’éducation nationale. Professeure des écoles depuis septembre 1997, j’ai enseigné dans toutes les classes du primaire. J’ai accompagné des centaines d’enfants sur les bancs de l’école. J’ai exercé mon métier de maitresse avec passion et persévérance. Et même si je redoublais d’énergie pour proposer des bricolages, des nouveaux projets en arts visuels ou encore des cadeaux de fête des mères et de fête des pères originaux et ambitieux, mon besoin de créer n’était pas suffisamment assouvi. En dehors de l’école, je me réfugiais dans la pâtisserie, dans la broderie, dans le bricolage avec des matériaux allant du papier au carton en passant par le bois. Très manuelle depuis mon plus jeune âge, je dois beaucoup à mes parents qui ont su me transmettre le goût de l’esthétisme, l’habileté manuelle et la satisfaction du « faire soi-même ».
Un croque soucis à l’origine de mes créations textiles
C’est en décembre 2018 que j’ai créé mon premier croque-soucis. Ce petit monstre gentil est arrivé dans ma classe afin d’aider mes jeunes élèves à exprimer leurs préoccupations (par des dessins ou quelques mots sur un petit papier), à les donner au monstre en début de journée ou quand ils en avaient besoin afin d’être ensuite plus disponibles aux apprentissages. Mes filles, un peu jalouses de ces petits monstres, m’ont bien fait comprendre qu’elles souhaitaient aussi avoir leur croque soucis. Elles ont pu faire l’expérience, elles aussi, pour apaiser leur esprit quelquefois en ébullition. J’ai eu énormément de plaisir à créer ces premiers monstres et j’étais à ce moment loin d’imaginer l’apaisement que cette technique allait apporter à mes élèves. Ma satisfaction n’en a été que décuplée !
Un chaudoudou qui a fait naître l’envie de créer mon entreprise
L’année scolaire 2020-2021 a été pour moi une année de transition au cours de laquelle j’ai pris le temps d’envisager ma reconversion professionnelle. En mars, ma collègue enseignante spécialisée m’a proposé de lire l’album de Claude Steiner : « Le conte chaud et doux des chaudoudoux » et m’a demandé si je pouvais créer pour elle et pour mes élèves un chaudoudou. Je l’ai tout de suite imaginé et quelques jours plus tard, j’allais lui apporter « Satinette ». Là encore, l’objet était symbolique mais son rôle dépasserait très vite le simple fait d’être un doudou. « Donner sans compter » telle était le message colporté par ce premier chaudoudou et par tous ceux qui allaient être créé ensuite. Créer des objets en lien avec les albums de jeunesse, tel est l’une des missions de mon entreprise.
Créer pour répondre à vos besoins
Très sensible aux besoins d’autrui, j’ai à cœur de bien identifier vos demandes. Ainsi, je mets toute mon énergie à votre service pour rechercher des solutions et vous apporter mes idées dans des créations textiles originales. Que se soient :
– des objets utiles tels que le protège billig que m’a demandé Pascale lors d’une séance de longe-côte, les parachutes utilisés par le groupe de longeurs de mon club pour s’entraîner aux compétitions ou encore le porte-surf demandé par Morgane avec une petite photo de magazine à l’appui,
– où que ce soit des objets s’adressant à un public particulier (enfants, personnes handicapées ou encore personnes âgées) et permettant d’apporter confort, réconfort ou bien-être,
ma créativité est nourrie par vos besoins et vos envies !
Francine couture, mon prénom, mon bonheur
Pas facile de choisir un nom pour son entreprise et encore moins un logo…
« Francine, Francine, Francine… ! » La voix de mes élèves résonne encore dans ma tête. A l’école, on ne demandait pas madame Moyne, d’ailleurs mon nom de famille était très souvent écorché. On demandait « Francine ». Jusque dans les magasins alors que je faisais tranquillement mes courses, j’attendais régulièrement « Francine ! » quand un élève me reconnaissait et s’apercevait alors que sa maitresse avait une vie à côté de l’école ! J’ai donc choisi de garder mon prénom dans cette nouvelle aventure. Mais pas Francine, maitresse, non, … Francine Couture !
D’un naturel enjoué et optimiste, mon logo se devait d’être à mon image ! Je voulais associer un animal à mon entreprise et avec l’aide de mon fils, j’ai fait le choix de la coccinelle : symbole de la chance et du bonheur. Mon entreprise, sous l’égide de la coccinelle, sera donc vouée à des rencontres heureuses et à des bonnes nouvelles. Rencontres auxquelles je vous associe d’ores et déjà !
Où pouvons-nous se rencontrer ?
Mon atelier se situe au 30 rue du calvaire sur la commune de Ploudalmézeau. Il jouxte mon habitation. L’entrée, séparée de l’appartement se fait par une porte fenêtre qui donne sur le jardin, à l’arrière de la maison. Je vous y accueille du lundi au vendredi, entre 9h00 et 17h00. Un coup de téléphone au 06.24.19.36.90 permettra de prendre rendez-vous avec moi et vous assurera d’une plus grande disponibilité de ma part.
Au plaisir de vous rencontrer !